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Un album pour y mettre pèle mêle les photos de la semaine en cours: paysages, chargements, trajets, camions... bref comme ça vient. En cette 1ere semaine, la n° 38 de 2023, elle s'annonce courte. mais elle signifie l'arrivée de l'automne et de ma reprise, un jeudi. Après plus de 3 mois passés à l'arrêt, me voici parti pour une petite ballade de santé en Allemagne vers Stuttgart.
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En 1928, Henri Essers a commencé à transporter du bétail avec un seul camion. Ses fils Noël et Jules Essers le rejoignent en 1950. Les deux frères profitant de la conjoncture plutôt favorable de l'après-guerre, font rapidement grandir la petite entreprise. Avec quelques gloires, mais aussi quelques defaites comme l'echec de la reprise des transports Bideloo. A la même époque, Jules décide de vendre ses parts, mais Henri, son frère tente un peu le coup de poker en restant seul aux commandes. Il sera alors un precursseur dans de nombreux domaines dans la logistique, ou il met en place très tôt le système des codes barre pour les envois, ainsi qu'une sécurité renforcée pour les remorques avec traçage systématique. en 2004, H. Essers reprend Van der Wal Tiel BV, un transitaire international avec des activités principales en Europe de l'Ouest et de l'Est et une forte position sur le marché en Pologne. En 2008, Essers rachète alors Furtrans. Furtrans s'est spécialisé dans le transport de haute sécurité au fil des ans. Avec le transport de produits de grande valeur tels que les produits pharmaceutiques, l'électronique et les cigarettes, elle est devenue un leader européen sur ce marché de niche. Fin novembre 2004, Essers a repris le prestataire de services logistiques Centrum Transport. Avec cette acquisition stratégique, Essers renforce sa position en Europe de l'Est et devient immédiatement l'un des plus grands acteurs du transport et de la logistique sur le marché roumain. La Roumanie est en train de devenir l'une des industries les plus importantes et devient également le deuxième siège du Groep H. Essers. Avec tous ces rachats, l'entreprise avec à sa tête aujourd'hui sa fille Hilde, est devenue une des plus grandes entreprises européennes avec les scandales qui vont parfois avec. Essers dispose ainsi de 88 agences et 10 filiales locales à des endroits stratégiques dans 18 pays. Ils emploient Plus de 7.500 personnes avec un parc de 1400 camions.
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En 1906, Alfons Ewals a fondé notre entreprise avec un cheval, une charrette et beaucoup d'ambition. Dans les années 1950 et 1960, Ewals installé à Venlo, s'est étendu à l'Allemagne toute proche. En raison de la croissance de l'industrie sidérurgique et chimique pendant la reconstruction d'après-guerre, les services de transport vers et depuis l'Allemagne ont dépassé les attentes au cours de ces années. Dès 1974, la société a commencé à desservir le Royaume-Uni. Déjà pour l'industrie automobile. Cargo Care voit le jour lors de la mise en service, d'une relation RO-RO vers la Grande Bretagne. Ewals mets en service des remorques MEGA dès 1990 afin de relier la Grande Bretagne à La Suède. En 2000 on compte pas moins de 3000 remorque qui sillonnent l'Europe.4e génération Ewals perpétue fièrement son héritage dans notre entreprise familiale. L'entreprise est aujourd'hui implantée sur toute l'Europe.
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L'histoire de Jan de Rijk remonte à 1959, lorsque Jan de Rijk a fondé l'entreprise aux Pays-Bas. À l'origine, la société se concentrait sur le transport de fleurs et de plantes, exploitant une flotte de camions pour répondre aux besoins du secteur florissant des fleurs néerlandais. Au fil des années, l'entreprise a connu une croissance significative et a élargi ses activités de transport pour inclure d'autres types de marchandises. Jan de Rijk a continué à investir dans sa flotte et ses infrastructures, devenant l'un des principaux acteurs du transport et de la logistique en Europe. Au début des années 2000, Jan de Rijk a également élargi ses services aux opérations logistiques et aux solutions de chaîne d'approvisionnement.
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En 1930 M. Marinus van der Vlist fonde son entreprise de transport à Gouderak, aux Pays-Bas entre Rotterdam et Gouda. Il se spécialise alors dans le transport de matériaux de construction, de bétail et de paille. Les premières remorques surbaissées font leur apparition dans les années 60. A partir de 1990, l'entreprise VD Vlist se spécialise alors dans les transports spéciaux, et developpe son activité en proposant à sa clientèle beaucoup de solutions logistiques. Présente dans toute l'Europe, jusqu'à St Petersbourg, les clouleurs des camions VD Vlis ne laissent pas indifferents.
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Plus que centenaire, l'histoire des transports Van de Poel remonte en 1922, lorsque Louis, propriétaire d'un moulin à Bouwel, une petite bourgade à l'est d'Anvers, livrait sa farine dans la région avec son cheval et son chariot. Plutôt que de revenir à vide, il ramenait vers sa commune du lait et d'autres denrées indispensables. Ce n'est qu'au début des années 60 que lepremier camion semi remorque fait ses premiers tours de roue. L'entreprise compte alors déjà un bon nombre de clients fidèles, principalement dans l'alimentation et le secteur agricole. Il faut attendre le début des années 90 pour que se developpe vraiment la société avec l'arrivée de la 3e génération avec Luc puis Wim Van de Poel. L'entreprise commence alors d'offrir des prestation logistiques. L'entreprise quitte le site historique de Bouwel pour Herenthout, et deservent toute l'Europe.
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En 1933 Jesús Carreras Pomar a acheté un Bedfort de 3T avec deux autres frères et ils ont commencé à utiliser pour une entreprise d'achat et de vente de blé et d'orge dans la région de Peñalba (Huesca). Très rapidement, l'entreprise se rapproche de Zaragoza pour obtenir de nouveaux marchés. Miguel Carreras fils du fondateur a 20 ans lorsqu'il rejoint l'entreprise et début des années 1950. Il rentre dans l'entreprise comme chauffeur, et 70 ans plus tard, il vient encore quotidiennement à faire "son petit tour". Miguel est devenu rapidement devenu l'un des principaux artisans du décollage initial de l'entreprise, de sa croissance et de sa diversification dans des secteurs aussi divers que l'immobilier, l'agriculture et l'élevage, la restauration et l'hôtellerie. « travaillant 15 heures par jour et parfois 24», il a réussi à développer l'entreprise jusqu'à ce qu'elle se développe de manière significative. Enfin, il conseillait de « résoudre les problèmes avec votre oreiller », car « à l'aube, votre esprit est plus clair, les idées et les solutions vous viennent plus clairement ! Aujourd'hui, le groupe dispose d'une flotte maîtrisée de plus de 1 000 véhicules et d'un réseau de stockage de plus de 600 000 mètres carrés répartis sur 46 sites. Plus de 2 300 employés travaillent dans l'entreprise devenue une référence dans la logistique.
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En 1980 six transporteurs de Cantabrie s'associent et forment la Cocantra (Cooperativa Cántabra de Transportes). Avec seulement une demi-douzaine de camions et de nombreux sacrifices économiques pour créer l'infrastructure minimale nécessaire au fonctionnement de la coopérative. Les premiers pas de Cocantra ont été faits à Raos ; Dans cette petite concession et dans des conditions matérielles plutôt précaires, la coopérative a été maintenue entre 1980 et 1995. Depuis sa création, Cocantra compte parmi ses clients certaines des industries les plus puissantes de la Cantabrie, telles que Repsol, Saint-Gobain, Alcatel, Nexans, Papelera del Besaya ou Global Steel Wire. Egalement une entreprise finlandaise, la papetière UPM Kymmene, dont les produits sont importés par le port de Santander. Cocantra a ouvert deux délégations, stratégiquement situées dans les zones où se concentre le plus de trafic national : Barcelone et Madrid. Cocantra aujourd'hui compte 80 associés et mise toujours sur la qualité de service.
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La compagnie de transport "La Espada" a une histoire fascinante qui remonte à ses modestes débuts jusqu'à devenir un acteur majeur de l'industrie du transport. Fondée en 1960 par Alejandro Martínez, un entrepreneur ambitieux, "La Espada" a été initialement créée pour offrir des services de livraison de colis et de marchandises dans la région de Madrid, en Espagne. Au départ, l'entreprise avait une flotte de seulement deux camions et opérait principalement localement. Cependant, grâce à la vision stratégique de son fondateur, "La Espada" a rapidement connu une croissance constante. Alejandro Martínez a su identifier les opportunités de marché et a étendu les activités de l'entreprise dans d'autres villes espagnoles, offrant des services de transport fiables et efficaces. Dans les années 1970, "La Espada" s'est diversifiée en proposant des services de transport international. Cela a permis à l'entreprise de se développer rapidement en élargissant ses activités au-delà des frontières espagnoles. La création de partenariats stratégiques avec des entreprises de transport dans d'autres pays a joué un rôle crucial dans cette expansion. Au fil des décennies, "La Espada" a continué de prospérer et a consolidé sa réputation en tant qu'entreprise de transport de confiance, offrant des services de qualité et respectant les délais de livraison. La société a régulièrement modernisé sa flotte de véhicules et a investi dans de nouvelles technologies pour optimiser ses opérations logistiques. Au tournant du 21e siècle, "La Espada" s'est engagée dans des pratiques plus respectueuses de l'environnement en adoptant des initiatives durables pour réduire son empreinte carbone.
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Parti de rien en 1938, Miguel Ramon débute son activité à Sant Carles de la Rapita. Dans ces années là, Sant Carles est un petit port de pêche situé entre Tarragone et Valencia. C'est tout naturelement qu'il se dédie au transport de poisson frais qu'il livre dans les villages voisins. Dès les début des années 60, les camions de Miguel Ramon franchissent les frontières et livrent alors des fruits et légumes dans l'Europe entière. La Grande Bretagne est une de leurs destination privilégiée au point d'y avoir installé une base à Newhaven.
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Eugène couchet, héros de la 1ère guerre, se lance dans la négoce de vins, charbons et produits agricoles dans les monts du Forez. Vingt ans plus tard, il n'hésite pas à ravitailler le maquis avec ses 3 camions Renault. La guerre terminée, il convainc ses 6 enfants de créer une entreprisede transports familiale ou chacun a un role clé et ils s'installent alors en 1952 à Andrezieux, aux portes de St Etienne, dans un parc de 20 ha, lequel comprend un manoir de 750m2 et lequel s'averera plus tard, fort utile pour convaincre les banquiers. Pierre à la mécanique, Fernande au secretariat, Joseph (Jo) negociateur commercial, Lucien, Paul et Marc prendront le volant. Jo Couchet completera en somme son apprentissage de l'administration TIR chez Rivoire à St Etienne, en rédigeant des connaissants douaniers pour Michelin. Il partira par la suite aux Etats unis ou il s'inspirera des méthodes de travail des grands groupes tournées vers le stockage. Sa vision révolutionnaire du transport fera des Tpts Couchet, une entreprise pionnière et innovante dans bien des secteurs. Dès 1952, les transports Couchet se vient attribuer par Michelin, 8 des 10 carnets de la toute nouvelles convention TIR. En 1953, des Somua de 150cv s'élancent vers Hambourg, chargés de couronnes d'acier puis de boites et de ponts pour Goteborg en Suède. En retour, ils rechargent des fûts de boyaux pour le Danemark. Michelin est conquis par la formule TIR et Jo Couchet décroche des lignes vers le Benelux, l'Italie ou se souvient Marc, il fallait 5h pour franchir le Mont Cenis de Lans le bourg à Susa. Marc Couchet sera l'homme des premières, puisqu'il ouvrira la route vers l'Autriche, la Grèce et la Pologne sans croiser un seul autre français. Les grands noms de l'industrie de la fin des années 50 figurent en bonne place chez Couchet : BP, Café Rival, COOP, Lampes Sylvania et les biscuits Gringoire qui ouvriront la course au grands volumes. Les transports Couchet exploitent alors bon nombre d'Unic, qui bien que peu apprécié par les conducteurs, sont renouvelés tous les 2 ans grace à une habile negociation de contrat d'entretien. Des carrossiers ingénieux assemblent des savoyardes plus facilement démontables et équipent les semi de pupitres orientables, permettant de transporter des toles juqu'à 3,70 de large0 En retour d'italie ou d'Ecosse, ils peuvent ramener du fret classique. C'est à cette époque que l'on voit également apparaitre les premières semis extensibles. En1968, Couchet décroche un contrat de 30 voyages pour le compte de la Croix Rouge à destination des Monts Khorossan en Iran, ou l'on dénombre plus de 10 000 victimes à la suite d'un terrible tremblement de terre de 7,4 sur l'echelle de Richter. Sans cartes, ils partent à bord de 3 camions, un Unic T200A, un Scania LB76 et un Henschell HS26 6x4, pour un voyage de 14 000 kms, dont 10 000 sur piste de sable ou de neige. Ils mettront 7 semaines pour boucler le voyage, ce qui est somme toute un exploit. Reçus par le Chah à Téhéran, les chauffeurs bénéficieront d'une exonération des taxes sous le couvert de la Croix Rouge. Couchet finira par être leader sur ce marché et affretera ses voyages aux etrangers ou à la STOUF. Très rapidement, Couchet conclut un marché avec un armateur danois et embarque 35 semis par semaine sur un caboteur pour Iskenderun à la frontière Turco Syrienne. Une agence est ouverte sur place. il ne va cesser de developper la méthode RO-RO vers d'autres destinations tel la Grèce et l'Afrique du nord. Dans le même temps, Couchet reste présent sur l'Europe avec le chantier du pipeline de Fos à la frontière allemande mais aussi le transport du noir de fumée de Marseille au Luxembourg. Mais à la suite d'un différent familial, l'entreprise se recentre vers des marchés moins risqués. La branche GB est cédées à un certain Norbert Dentressangle, fils d'un ancien affreté. Le décès d'Eugène le patriarche puis celui de son épouse vont amplifier les différents au seing de la famille et petit à petit, celle ci arrivera aux mains d'un Pdg peu scrupuleux, qui, profitant du declin, permettra la fusion avec des transporteurs locaux qui emmergent comme Crozier ou Grangeonn naitra alors TRF (transports réunis foreziens) . La société connaitra encore quelques defaillances et cessera son activité en 1994, Jean Munster récupère les derniers contrats avec Giat Industrie et hérite par la même du savoir faire exceptionnel d'un personnel formé à la meilleure école. La société Couchet frères, gère encore aujourd'hui 25 000 m3 d'entrepots logistiques, derniers vestiges d'un passé glorieux. Alain Lancereau
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Paul Clot fonde son entreprise de transports entre les deux guerres mondiales, en 1933. Bientôt centenaire, la société a demarré en Haute Saone ou il opère sur des chantiers des routes du département. Chacun des fils Clot roule avec son véhicule, ce qui porte à 4, le parc de l'entreprise en 1955. A son départ à la retraite en 1975, c'est son gendre qui lui succédera, et l'entreprise qui reste familiale, ne cesse de poursuivre son developpement. Comme beaucoup, le rachat d'autres transporteurs, diversifie les activités de la société.
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Joseph Delanchy crée « Ange Delanchy et Fils » à Ploemeur, en mai 1968. Précurseur du flux tendu, l’entreprise se spécialise d’abord dans le transport ultra frais des produits de la mer.
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Passionné de camions, Jean Eychenne tient une épicerie en Ariège. Fils de charretier et persuadé que le transport est un métier d'avenir, il cède son commerce. Il débute en 1937 par la reprise d'une ligne d'une centaine de kilomètres entre Labastide de Serou, non loin de Foix et Toulouse. La guerre passe, et les besoins de transports ne manquent pas, l'entreprise quitte l'Ariège en 1958 pour rejoindre Portet Sur Garonne. Les camions sont alors rouge et crème, et ne passent pas inaperçus. Dès 1960, avec le système des wagons SNCF "kangourou", il remettent des remorques à destination de la région parisienne. L'international fait aussi parti des destinations des transports Eychenne, mais leur fond de commerce est celui des grands noms de la grande distribution. Toujours familiale l'entreprise reste attachée à ses racines occitanes.
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Tout commence en 1904 pour GEODIS. Cette année-là au Havre, Émile Calberson fonde son entreprise de transport de marchandises par le train vers Rouen et Paris. Il s’agit alors de transporter des bagages et des colis par trains de voyageurs puis de les livrer depuis la gare au client final. En 1920, l'activité est devenue essentiellement routière et l’entreprise prend le nom de Société des Transports Rapides Calberson. Elle se développe alors sur l’ensemble du territoire français avant de devenir l’une des principales entreprises de messagerie françaises. En 1961, la société SCETA*, filiale de la SNCF, prend le contrôle de la Société des Transports Rapides Calberson. Entre 1950 et 2009 : le développement du réseau à l’international C’est au début des années 50 que la société d’Émile Calberson commence à proposer ses services en Afrique du Nord. À partir de 1970 de nouvelles agences sont ouvertes aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne, ainsi qu’en Italie et en Allemagne. C’est également le début d’une ambitieuse politique de diversification des activités avec l’entreposage, la manutention, ou encore la location de voitures. En 1995, Calberson est intégré à un nouveau groupe, GEODIS dans le cadre d’une réorganisation des participations de la SNCF dans les métiers du transport, Privatisé en 1996, le groupe GEODIS se structure en quatre branches d’activités : la messagerie, la route, la logistique et l’international. Avec l'acquisition en 2006 de TNT Freight Management, rebaptisé GEODIS Wilson, GEODIS assoit sa présence en Scandinavie, sur le continent américain, en Asie et en Australie. Il se hisse alors au rang des premiers opérateurs de commission de transport en Europe. En 2008, le groupe acquiert la plateforme mondiale de pilotage des activités logistiques d'IBM, ce qui donne naissance à une nouvelle expertise : l’optimisation de la supply chain. Cette année-là, GEODIS devient filiale à 100 % de la SNCF. En 2009, GEODIS poursuit ses programmes de croissance externe avec l’acquisition de deux divisions de Giraud International : le pôle Sidérurgie et la zone Europe centrale et de l’Est. En 2015, le groupe réunit l’ensemble de ses entités sous la marque unique GEODIS. La même année, il acquiert OHL (Ozburn-Hessey Logistics), basée à Nashville, dans l'État du Tennessee aux États-Unis. À cette époque, OHL comptait plus de 10 000 collaborateurs et 120 centres de distribution proposant divers services de gestion de supply chain à sa clientèle d’Amérique du Nord - un moment fort dans l’histoire de GEODIS. En 2021, GEODIS renforce sa présence en Europe grâce au rachat du transporteur routier Pekaes en Pologne. Cette acquisition s’inscrit dans l’optique de consolidation de son réseau routier à l’échelle du continent. Avec le rachat de sociétés françaises spécialisées, Gandon en matière de transport de produits pharmaceutiques et Transports Perrier dans le domaine des lots palettisés, le groupe poursuit le développement de son offre de services. L’année 2022 marque le rachat par GEODIS de Keppel, le spécialiste de la logistique contractuelle basé à Singapour, puis de Need It Now Delivers, le leader de la distribution express aux États-Unis. Ces deux acquisitions stratégiques, confortent l’ambition de GEODIS d’être un opérateur de logistique mondial. En 2023, le groupe fait véritablement passer ses opérations au niveau supérieur en Allemagne comme en témoigne le rachat de trans-o-flex, le leader de la livraison express de produits pharmaceutiques et autres marchandises sous température dirigée.
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A la sortie de la seconde guerre mondiale, en 1947, Ernest Huck se lance dans le transport. 30 ans plus tard, en 1976, son fils Richard lui succède et developpe l'affaire familiale. A la fin des années 1990, ils se diversifient pour répondre aux demandes des clients avec de la logistique et du stockage. L'entreprise reste toujours familiale, avec du matériel toujours propre que l'on peut croiser avec plaisir entre l'Alsace, L'Italie et l'Espagne.
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Connus pour son matériel toujours impeccable, la saga des transports JC Boudot débute dans l'immédiat après seconde guerre mondiale André Ballandras monte son entreprise de transports à Bordeaux pour livrer des coopératives et tabacs et engrais. Comme beaucoup, il rachète ses premiers véhicules à l'armée maintenant que la paix est revenue. L'entreprise sort de la région Bordeaise à destination de l'est de la France et de l'Allemagne. Destination qui restera dans l'ADN de l'entreprise. Après 45 ans de travail, André Ballandras prend sa retraite et passe la relais à ses deux fils et son gendre JC Boudot. L'entreprise connait diverses mésaventures avec nottement un incendie en 2003 qui ravage une partie du matériel et des infrastructures. En 2021, la société est reprise par les transports Lalanne, autre société sérieuse, et toujours à destination de l'est de la France.
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C'est dans un village du sud coutançais à Lingreville que le maraîcher Michel Malherbe a créé son entreprise en 1953. En bon agriculteur de la Manche, les pieds sur terre, il a eu l'idée de vendre directement sa production à Rungis. Avant de se diversifier en 1963 dans le transport. M. Alain Samson rejoint le groupe en 1980 et assure rapidement la fonction de directeur administratif et financier. Il devient directeur général en 1996 et acquiert le contrôle de Malherbe en 2001. Dès lors, M. Alain Samson accélère le développement du groupe par la création d’agences (Rouen, Nantes, Bordeaux, Toulouse et Marseille) couplées avec des opérations de croissance externe (Valenciennes, Dijon et Metz). En 2007, Malherbe réalise une acquisition significative avec le rachat de filiales appartenant au groupe TNT et disposant d’un parc de 300 véhicules moteurs. Malherbe poursuit sa stratégie de croissance externe et consolide sa présence sur le marché français avec plusieurs acquisitions de 2012 à 2017, dont le groupe breton Bernard en 2017. La même année, dans une perspective de développement international, Malherbe ouvre une agence à Ensisheim, dans le Haut-Rhin, pour être proche des frontières avec l’Allemagne, l’Italie, le Luxembourg et la Suisse.
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En 1959, Maurice Bouvier ouvre son entreprise à Larchamp (53) sous son nom et fonde en 1974 avec son fils Guy et sa fille Huguette la Société de Transports Maurice Bouvier (STMB). Dans les années 1980, l’entreprise familiale a commencé à se développer, notamment par l’installation à Saint Pierre des Landes dans un entrepôt de 1500 m2 en 1989.
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Disparu en 2016, Gérard Weber a crée son entreprise en 1973 avec un MAGIRUS 232 D19. Année après année, passionné et travailleur, il ne cesse de faire croitre son entreprise, qui reste encore aujourd'hui familiale. Restée fidèle à ses couleurs, on ne peut pas louper ces camions, toujours nickels !
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C'est Leopoldo Ferretti, qui crée en 1953 Fertrans pour répondre aux besoins des secteurs les plus divers, comme le transport d'appareils électroménagers et de divers types de composants, originaire de Piacenza dans la vallée du Po, elle a progressivement développé de nouvelles activités orientées vers le transport d'acier et le transport transnational de déchets. Les rênes de l'entreprise sont ensuite passées à son fils Gianfranco puis, entre 2007 et 2010, la troisième génération est arrivée représentée par Eugenio et Emanuele. Elle gère des liaisons avec la France, l'Espagne, le Portugal, l'Allemagne et les pays de l'Est, et dispose de plusieurs agences dont une en France qui ressemble bien à une boit à lettres.
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L'aventure Antonio Frade débute en 1984, sur du transport national au Portugal. Très tôt ils se lancent dans la logistique alimentaire. Forts de cette expérience, l'entreprise s'oriente dès 1992 vers l'International.
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Nés de la fusion de Lamarão, S.A. et Solenha – Sociedade de Transportes Rodoviários en 2007, Laso a connu une ascension fulgurante. Des agences sont crées à la suite le plus souvent de rachats, dans toute l'Europe ainsi qu'au Maroc.
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La maison Maulini est une entreprise du canton de Genève qui existe depuis déjà longtemps puisque c'est le père, Mr Charles qui l'a créée. Mr Maulini père est aujourd'hui à la retraite et c'est son fils qui a reprit l'entreprise. Cette entreprise fabrique du béton et, hormis les clients qui viennent chercher leur béton eux même, l'entreprise Maulini a dû acheter ses propres véhicules afin de pouvoir livrer aux clients qui voulaient recevoir leur béton sur place. L'entreprise a aussi dû s'adapter aux nouvelle technologie, et donc, ils ont dû acquérir des véhicules adaptés à la demande des clients, comme des camions benne, des multi-bennes, des malaxeurs et des camions pompe à béton ! Bien entendu, les camions de l'époque ont été remplacés au fur et à mesure que le temps a passé et le parc s'est modernisé, mais, quelques anciens camions sont toujours présents et c'est justement ce qui m'a intéressé à faire ce sujet car il y a différentes générations de camions qui travaillent encore.. Vous pourrez voir par vous même l'évolution du parc de camions des modèles les plus anciens aux plus récents sur les photos ! Mais une chose est sûr, c'est que mon préféré est le MAN à museau, je le verrais bien en tracteur avec des échappements derrière la cabine et plein de décoration ! Mario Lomazzi
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A l’origine, la famille Egger était une famille de paysans qui louait une ferme, au-dessus de St. Gall. Lorsque le bail prit fin et que ses fils, presque adultes, ne montrèrent pas d’intérêt pour l’agriculture, Johann Egger acheta, un peu à contrecœur, un commerce de bois et de charbon, où la logistique était encore assurée par des chevaux.
En 1931, la création officielle d’un prestataire de services de logistiques fiable (à l’époque, il n’y avait pas encore de désignation officielle) des “frères Egger” par les fils Hans et Emil Egger a eu lieu. Le siège de la première entreprise se trouvait à Heiligkreuz à Saint-Gall. En tant que pionnier de la logistique, l’entreprise a surmonté de nombreux défis et crises. Outre les obligations légales qui ont régulièrement compliqué les affaires, la deuxième guerre mondiale a sans doute constitué le plus grand défi au fil des années. A cette époque, Hans ne croyait plus en l’avenir de l’entreprise, car les rationnements de carburant, de caoutchouc ou de pneus et les mesures de restriction des performances de conduite laissaient présager un avenir sombre. Mais Emil Egger voulait se battre, notamment pour le personnel, auquel il s’était beaucoup attaché au fil des ans. Il a donc racheté les parts de son frère et a consacré toute son énergie à l’entreprise. Il s’en est suivi de nombreux combats difficiles pour assurer leur subsistance. Hans Egger a ensuite fondé PNEU EGGER, une entreprise qui prospère encore aujourd’hui, mais avec un autre propriétaire.
L’ancienne famille d’agriculteurs Egger est devenue une famille d’entrepreneurs grâce à ses fils Hans et Emil. Pendant la guerre, diverses actions d’aide ont été organisées par la Croix-Rouge et d’autres institutions caritatives – Emil Egger a également proposé ses services à cet effet. Pour se protéger des attaques aériennes, chaque camion était recouvert d’une grande toile, ornée de la croix suisse. De même, l’approvisionnement de la Suisse à partir de l’année 1941 n’a été assuré que par l’utilisation de camions. A l’époque, Emil Transporte Egger allait chercher, avec d’autres logisticiens, les denrées alimentaires qui arrivaient à la frontière Portugal/Espagne et les transportait à travers l’Espagne jusqu’à la frontière française, pour les acheminer ensuite en Suisse par les chemins de fer français. Emil Egger conduisait jour et nuit avec ses collaborateurs pour assurer l’approvisionnement du pays. Une période difficile avec peu de sommeil, sans cabine de couchage ! Lorsque la terrible guerre a enfin pris fin en 1945, Emil Egger a effectué des transports d’Allemagne vers la Suisse, entre autres pour des entreprises privées, afin de récupérer des biens appartenant à la Suisse.
Après la guerre, de bonnes années ont suivi et l’entreprise a pu se développer et croître de manière constante. ETE est devenu un interlocuteur apprécié pour les questions de logistique et un employeur important dans la région. Le logo aux lettres marquantes ETE a été conçu à l’époque par le père fondateur Emil Egger sur un couvercle de bière et a dès lors orné les véhicules de l’entreprise, jusqu’à aujourd’hui.
Dès 1956, Emil Egger a reconnu la nécessité de se spécialiser également dans le domaine des marchandises lourdes. Des machines de plus en plus grandes étaient produites et devaient être transportées. Emil Egger a donc conçu sans hésiter une remorque surbaissée de sa propre marque, avec une charge utile de 15 tonnes. En outre, la première grue automotrice entièrement hydraulique, à quatre roues directrices, a été achetée aux États-Unis. À l’époque, il s’agissait seulement du troisième appareil de ce type dans toute l’Europe, avec une capacité de levage de 4,5 tonnes, ce qui était énorme pour l’époque. En 1965, Emil Egger décide de transformer l’entreprise en société anonyme. Une forme juridique plutôt progressiste à l’époque, toujours en vigueur aujourd’hui. L’ensemble du capital est détenu à ce jour par des membres de la famille.
En 1966, à l’âge de 20 ans, Heini Egger, le plus jeune fils d’Emil Egger, a rejoint l’entreprise après avoir terminé son apprentissage de mécanicien. La collaboration entre le père et le fils a fonctionné à merveille. Tous deux ont mis l’accent sur la forte expansion du secteur de la logistique des colis de détail. Emil Egger est décédé en 2006, à peine deux semaines après le décès de sa chère épouse Idamarie, à l’âge de 94 ans. Ses deux petits-enfants, Michael et Markus Egger, ont rejoint l’entreprise florissante en 2004 et 2007.
Le nouveau millénaire est surtout marqué par le développement des infrastructures. De nouveaux entrepôts et de nouvelles halles de transbordement ainsi que des bureaux ont été construits. D’autres nombreux investissements dans la flotte et des extensions de sites, comme par l’achat de Zumwald Transports SA en Suisse romande, ont permis d’améliorer continuellement les prestations pour les clients. Grâce à sa vaste infrastructure et à sa flotte de véhicules ultramodernes, ainsi qu’à son personnel qualifié et expérimenté, EMIL EGGER AG peut continuer à renforcer sa position sur le marché, dans le domain de la logistique lourde également et son consolider son parcours d’entreprise régionale du marché suisse. https://www.ete.ch/fr/a-propos-de-nous/
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L'AFT,( Association pour le développement de la Formation professionnelle dans le transport) est créée en 1957 -sous l'égide de l'Union des Fédérations de Transport- par certaines organisations professionnelles du transport. En 1989, l'AFT et l'IFTIM s'associent pour former le groupe « AFT-IFTIM », un organisme de formation du secteur des Transports, de la Logistique et du tourisme.
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La Société chimique routière et d'entreprise générale (Screg) est créée en 1964 pour prendre en compte, à côté des activités routières, les diversifications dans le génie civil, le bâtiment et la promotion. Son origine remonte à 1898 lorsque Jean-Ferdinand Henri et Louis Humarau créent entreprise à Bordeaux qui importe d’Angleterre des produits de base nécessaires aux chemins de fer et développent le négoce des hydrocarbures pour les besoins du secteur automobile en plein essor. En 1917 est créée la Société chimique de la Gironde (SCG), vite appelée « La Gironde » qui se spécialise dans les produits de la route. La demande nationale est alors considérable. En 2002, après la fusion de la holding Screg avec Colas SA, les six filiales régionales routières (Screg Nord-Picardie, Screg Est, Screg Sud-Est, Screg Sud-Ouest, Screg Ouest, Screg Île-de-France – Normandie) deviennent filiales directes de Colas SA.
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Dès 1895 Michelin accompagne le sport automobile avec la course Paris-Bordeaux après avoir fait de timides débuts sur la course cycliste Paris-Brest, ou le vainqueur équipé de pneus démontables Michelin gagne avec 8h d'avance ! En 1899, équipée de pneus Michelin, la "jamais contente franchit le cap des 100kmh. Ils créent, en 1908, le grand prix du Puy-de-Dôme dont le défi consistait à rejoindre son sommet, depuis Paris, en six heures maximum. En 1923, ils gagnent leur premières 24h du Mans. Très vite, Michelin se place en tête de beaucoup de compétitions sportives, de la moto aux voitures de course, rallye, formule 1, GT... Et bien sûr, il faut des camions et de la logistique, place aux photos.
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En 1993, Gérard effectue des rotations avec des pommes du Limousin en palox pour Avignon ou La Vallée du Rhône. De belles routes ou il vaut mieux avoir un bon ralentisseur. C'était pas le cas de Gérard qui a eu un léger souci avec sa remorque. Plus de peur que de mal, même s'il a revisité la recette des pommes au four... Au final, il a même fait un peu de tourisme !
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Chargé pour Chateau-Chinon, Gérard alors chauffeur pour les transports Faure se retrouve au pont de Mâcon bloqué par les manifestations contre le funeste permis à points. Durant une semaine, des amitiés se sont crées. Un souvenir inoubliable en photos.
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